Dre Suzanne Leclerc chapeautera le Comité consultatif de médecine sportive
Dre Suzanne Leclerc chapeautera le Comité consultatif de médecine sportive
La directrice médicale de l’Institut national du sport du Québec (INS Québec), Dre Suzanne Leclerc, sera la cheffe du Comité consultatif de médecine sportive (CCMS) pour les deux prochaines années. Ce comité canadien relevant de l’organisme À nous le podium réuni les médecins en chef de chacun des quatre Instituts du sport canadien, le médecin en chef du Comité olympique canadien (COC), celui du Comité paralympique canadien (CPC) ainsi que le Dr Robert McCormack, médecin en chef de l’équipe canadienne à plusieurs éditions des Jeux olympiques et ancien directeur médical du COC.
Dre Leclerc chapeautera ce comité qui a pour objectif de faire du Canada un leader international en médecine de performance, en prévention des blessures et en services de santé innovants afin de soutenir les athlètes olympiques, paralympiques et ceux identifiés dans le cadre du programme NextGen.
En plus des tâches attribuées à chacun des membres du comité, en tant que cheffe, le Dre Leclerc sera responsable de coordonner les efforts et de gérer les priorités. « Mon rôle consiste à gérer les agendas et les échéanciers ainsi qu’à assurer le suivi des projets mis en place et leur livraison. Bien sûr, l’ensemble des priorités est établi à l’aide de consultations avec l’ensemble des membres du comité », explique-t-elle.
« Dre Suzanne Leclerc a tout ce qu’il faut pour diriger ce groupe. À ses compétences reconnues en médecine du sport, viennent s’ajouter une curiosité scientifique, une approche innovatrice, un dynamisme contagieux et un engagement de tous les instants », affirme Roger Archambault, vice-président, Services de performance à l’INS Québec. « Le rôle du Dre Leclerc au sein du CCMS confirme que l’INS Québec occupe une place de choix dans le paysage sportif canadien en tant que membre du Réseau des Instituts du sport olympique et paralympique (RISOP). Amener notre contribution dans la gestion du sport de haut niveau tant sur la scène nationale que provinciale est primordiale afin de favoriser un milieu de développement sain dans l’intérêt de nos athlètes et intervenants sportifs. »
« À nous le podium est très heureux de compter sur Dre Suzanne Leclerc pour diriger cet important groupe consultatif au cours des deux prochaines années, affirme Andy Van Neutegem, Ph. D., Directeur, Sciences de performances, recherche, et innovation d’ANP. Son expertise et son travail avec les sports olympiques et paralympiques sont inestimables et nous sommes impatients de travailler avec Suzanne et les autres médecins en chef pour faire progresser le sport de haut niveau au Canada. »
Le rôle du CCMS dans le système sportif canadien
Les travaux du comité sont basés sur les besoins du système sportif canadien en matière de médecine sportive et inspirés par ce qui se fait sur la scène internationale. Le comité permet d’unifier et de coordonner les connaissances tout en partageant les expériences et les meilleures pratiques. Comme l’explique Dre Leclerc : « Nous voulons amener nos athlètes à être toujours meilleurs et toujours en santé. Nos travaux sont basés à la fois sur ce qui est fait par le Comité international olympique ainsi que sur les besoins aux niveaux national et provincial. Pour bien encadrer nos athlètes en matière de santé, il faut améliorer les structures et devenir très performant en médecine sportive. C’est la raison qui sous-tend l’existence de ce comité. »
Pour réaliser ses objectifs, le CCMS a établi quatre grands thèmes : assurer la continuité des services de santé auprès des équipes; assurer un suivi de l’état de santé des athlètes à l’entraînement et en compétition; établir un protocole de surveillance des blessures, des programmes pour leur prévention ainsi que favoriser la recherche et l’innovation dans ce domaine; assurer un soutien et un leadership en matière de médecine sportive au Canada.
Dans un prochain article Dre Leclerc abordera un sujet incontournable pour la communauté sportive : « Composer avec la réalité de la COVID-19 ».